INTERCEP ! c’est un espace d’écoute et de partage, qu’on a pensé pour les vigneronnes et vignerons. Pour parler passion, énergie, gestion du temps, de la fatigue, émotion et grandes joies, pour parler vin évidemment, mais au fond pas tant… Pour parler de ces interstices de ces vies à 1000 à l’heure, et des audaces ou des astuces que certains ont à nous livrer.
J’ai la grande joie de clôturer cette toute première saison d’Intercep par l’interview d’Hélène. Je connais Hélène depuis des années, je l’ai rencontrée en tant qu’acheteuse vins pour des restaurants engagés, elle est aujourd’hui agent. Attention, pas n’importe quel agent, car elle représente, entre autres, l’un des plus célèbres domaines au monde…
Hélène est de ces personnalités lumineuses, franches mais pas grande gueule, une femme à la fois forte et sensible, une grosse bosseuse. Elle n’a pas du tout fait d’études dans le vin, elle n’est pas non plus issue d’une école de commerce. Alors comment on devient LA personne qui représente l’un des plus prestigieux domaines à Paris ? Comment on devient une figure des coulisses du vin sur la scène parisienne tout en restant soi, tout en gardant la tête froide et les pieds bien ancrés sur terre.
Dans cet épisode on va parler des différentes réalités de ce métier d’agent, du syndrome de l’imposteur, du rôle de l’amitié, on échange sur l’importance de savoir dire non et de la densité des journées quand – en plus – on devient maman coup sur coup.
Si vous êtes vignerons, acheteurs, sommelier, caviste ou agent… cet épisode est pour vous. Pour mieux comprendre les métiers des uns et des autres, pour remettre de l’empathie dans ce joli cercle dans lequel nous sommes au fond, tous reliés.
Clémence, ou comment (re)définir la passion ?
Voici un épisode un poil particulier !
Un épisode en effet tout à fait exceptionnel, enregistré sur un lieu public, le Pavillon des Canaux dans le 19e arrondissement à Paris. Il y a quelques semaines, j’étais invitée par l’équipe du Pavillon des Canaux pour enregistrer un podcast sur place, à l’occasion du Pavillon des vigneronnes un salon qu’ils organisent, le temps d’un week-end.
J’ai regardé leur programme, et découvert que parmi les vigneronnes – pour certaines très connues et défrayant la chronique – il y avait aussi une jeune femme très discrète, que j’apprécie beaucoup mais connaissais mal. J’ai donc accepté l’invitation, pour partir à la rencontre de Clémence, la mettre un peu plus en lumière ainsi que son domaine, la Petite Tuile : vous allez voir, on va parler de son parcours, d’ancienne éditrice à vigneronne, de gaillacoise exilée à parisienne nostalgique, de jeune mère qui découvre un nouveau métier en même temps que son bébé,
Avec Clémence on va aussi se poser la question de la vibration : est on forcément passionnée quand on vigneronne ?
Qu’est ce que ça veut dire, au fond, être passionnée ?
Et puis, on va aborder, avec toute la douceur et la simplicité naturelle qui caractérisent Clémence, le sujet du couple dans le travail, de comment on construit un projet à deux… même quand le couple n’existe plus en tant que tel.
Isabelle, ou comment remonter la pente après un épuisement professionnel ?
Aujourd’hui mon invitée n’est autre qu’Isabelle Pangault, du domaine de l’Affût.
Isabelle a plaqué son ancienne vie pour devenir vigneronne, en 2018. La même année, elle découvre 32 métiers en un, devient maman et lance le chantier de sa future maison.
Voici un épisode très fort, que je suis hyper fière de vous partager aujourd’hui. On parle de toucher ses limites, et on va aller regarder de plus près ce moment où Isabelle a frôlé la zone rouge, et comment elle a remonté les marches, une à une. On parle de cette difficulté à faire des choix (ou de ne pas réussir à les faire !) dans un métier où il y a tant de décisions quotidiennes à prendre, on questionne aussi évidemment l’importance de cultiver du temps pour soi sans jongler sans cesse. Isabelle me confie, avec beaucoup de sensibilité, combien la thérapie et le coaching l’ont aidée ces dernières années, pour mieux se connaître… et atteindre ses objectifs.
Un épisode truffé de conseils petits et grands, incroyable de sincérité, et avec… une surprise finale qui devrait vous filer quelques frissons ! À écouter absolument jusqu’au bout…
À la croisée des chemins, rencontre avec un autodidacte passionné
Il y a un an, Aymeric lançait la commercialisation de sa toute première bière issue d’une fermentation spontanée, avant d’ouvrir son bar à vins et à bières dans le centre-ville historique de Besançon puis de créer le premier salon dédié aux bières dites sauvages. Pas de chichi, ici on a rendez-vous avec un bosseur, un mec qui pige vite, du genre autodidacte un peu surdoué.
Quand on apprend qu’en plus son nom de famille c’est Tissot, et qu’il baigne dans le vin depuis toujours, que sa famille fait partie de celle qui ont fait bouger de sacrées lignes dans le Jura, on se dit qu’il a sûrement 2-3 anecdotes à nous raconter.
On avait donc très envie de convier Aymeric au micro d’Intercep : pour son parcours étonnant, à tout juste 26 ans (!), pour comprendre un peu mieux les dessous de son audace et de sa détermination dans le projet de la Brasserie Levain, pour parler – aussi – de ce sujet si sensible de la transmission.
Laure, ou la liberté d’être soi
Une interview perchée, au sens propre ! Nous sommes à 550m d’altitude, au cœur de la ferme vigneronne de Laure Colombo : le domaine de Lorient.
Nous avions eu un coup de cœur pour ses vins dégustés l’hiver dernier, et nous avions ensuite été intriguées par ce que laissait entrevoir Laure sur les réseaux… Alors on a été voir, sur place, ce qu’il en est…
Dans cet épisode, on parle polyculture et pistes de réflexions face à l’éco-anxiété, on s’interroge sur le couple, et sur comment en prendre soin quand on a 1000 et 1 chantiers et que l’on respire sa passion. On parle communication et authenticité, on cause aussi boulimie de l’apprentissage et… apprendre à dire non.
Et puis avec Laure, on a abordé, aussi, cette idée de s’inventer soi-même, de s’émanciper… tout en restant fidèle à ses racines.
Un épisode riche, enregistré dans cette énergie naissante du printemps. Merci Laure pour cette conversation encapsulée et toutes les pistes de lectures et réflexion !
Entre gratitude et remise en question perpetuelle… conversation avec un vigneron discret
Jean Gonon ! Oui, dans cet épisode, nous avons la joie d’accueillir au micro l’un des deux frangins à la tête du très recherché domaine Pierre Gonon.
Un épisode lumineux, très sensible, dans lequel on parle responsabilité et choix de vie, dans lequel Aurélie questionne Jean sur ce que ça signifie, au fond, être vigneron.
Jean partage ici l’un de ses mantras de vie (#teasing), et vient nous questionner sur ce besoin de reconnaissance que nous avons toutes et tous au fond de nous. Un épisode on l’on parle aussi frustrations et management, où l’on met les pieds dans le plat et où l’on parle de pression… positive ! Belle écoute à vous, et un grand merci à Jean pour cette conversation.
Leslie, ou une passeuse de vin pas comme les autres
Leslie n’est pas vigneronne, elle est pourtant au cœur du vin : depuis désormais 6 ans, elle diffuse son énergie et sa passion aux acteurs du vin qu’elle accompagne, ses clients, mais aussi sur les réseaux sociaux, où elle a su se faire une place. Et, il y a quelques semaines à peine, elle sortait son tout premier ouvrage, Ivresse. On avait très envie d’entendre Leslie raconter son histoire, avec ses mots, on avait envie de comprendre un peu les coulisses de cette nana drôle et bosseuse, qui nous a scotché avec ce livre vraiment brillant. Dans cette toute première interview de Leslie (#fierté !), on va parler inspiration et lâcher-prise, on va parler d’audace, évidemment (il en faut pour sortir un costume de motte de beurre devant ses 11K de followers !), de liberté et d’enfance, et puis on va parler d’amitié. Merci Leslie pour ce partage sincère et ta confiance. Un très bel épisode, un pas de côté qui vient rejoindre notre série sur les « passeurs du vin » !
Charlotte, ou la face cachée de la reine du Vin de mes Amis
Charlotte… la « grande » Charlotte, bien davantage connue pour le salon qu’elle a créé il y a 20 ans, Le Vin de mes Amis, que pour sa vie au domaine Jean-Baptiste Sénat.
Au fond, qui connaît véritablement l’histoire de cette bretonne qui s’est retrouvée, tout juste adulte, parachutée au cœur du Minervois ? Que fait l’organisatrice de 2 salons du vin parmi les plus prisés le reste de l’année ? Qui sait qu’elle a abandonné ses études de juriste par amour, qu’elle s’est frottée au concours de professeur des écoles, qu’elle a suivi la formation des Jeunes Agriculteurs tout en élevant 3 enfants en bas âge ?
Dans cet épisode vous allez très probablement découvrir une facette plus intime de Charlotte. On va parler sensibilité, notoriété et commerce, on va mettre les pieds dans le plat et parler argent, et on va voyager dans le temps, pour comprendre un peu comment Charlotte a su écrire ses propres règles du jeu et faire sa place. Belle écoute !
Agnès, le pas de côté pour explorer la détermination d’une passeuse de vins !
Agnès était juriste, elle est devenue caviste. Elle travaille plus de 500 références, a su devenir une actrice incontournable de son quartier et est reconnue de toute la profession… Pourtant, Agnès n’hésite pas le dire : la confiance en soi, c’est pas son truc. Alors comment on garde la pêche, comment on prend soin de soi, comment on cultive sa curiosité quand on est intimement travaillé par le syndrome de l’imposteur ? Comment on gère les sollicitations à tout va, comment on pose ses limites ? Est-ce possible de concilier passion et équilibre de vie ? Et qu’est-ce que ça veut dire, d’ailleurs, équilibre de vie ?
Dans cet épisode, vous allez entendre l’ébouriffante et lumineuse Agnès nous raconter un petit bout de son histoire. Tantôt drôle tantôt émouvante, Agnès dit les choses, et livre au micro d’Intercep un sacré bout de réflexion sur les questions qui nous animent, ici. Merci Agnès !
Romain, ou le vigneron qui décide qu’il peut gravir le Mont Blanc
Romain est incontestablement un leader. Pour autant, il n’en a pas toujours été ainsi. Dans cet épisode on va venir questionner les étapes qui ont jalonné son parcours, on va aller creuser la question de l’audace, de l’effort, de la fierté aussi. On va évidemment poser à Romain la question de l’énergie, à la fois d’où il la trouve, et quand il la perd. On va parler vacances et… parler alpinisme et soif de sommets. Un épisode joyeux, avec un homme qui fait clairement partie de la team « verre à moitié plein » !
Merci Romain pour ta sincérité et ta confiance.
Éloïse, ou comment conjuguer émerveillement et rigueur quand on est acheteur vin
Depuis 3 ans, Éloïse est acheteuse vin au sein d’un acteur important du e-commerce : elle gère un portefeuille de 400 domaines et bien davantage de cuvées ! Pour autant, Éloïse ne se laisse pas noyer par les chiffres, et ne supporte pas de survoler ses sujets. C’est une bosseuse, une vraie. C’est aussi une grande passionnée, qui arpente inlassablement le vignoble et enchaîne les salons. Comment gère-t-elle son énergie? Comment cultive-t-elle sa curiosité et sa passion face aux sur-sollicitations ?
Dans cet épisode on va parler de la folie des salons pro, de la passion d’apprendre, de la place de la femme aussi, ou du rôle de ce métier de passeur par exemple dans le conseil quant aux prix (trop élevés… ou trop bas !). On aborde aussi le sujet de l’eco-anxiété, de la responsabilité de ce rôle d’acheteur, au gré des millésimes !
Marielle, ou la découverte d’une vie sans stress.
Marielle est perfectionniste. Elle ne supporte pas de voir 90 mails non traités dans sa boîte mail, elle a du mal avec les changements de planning et aime les choses super organisées. Pourtant, Depuis 2 ans, Marielle est vigneronne. Alors que son quotidien est désormais constitué d’imprévus (la météo, le commerce, les jus en cave…), elle n’a jamais été aussi épanouie.
Dans cet épisode on va parler évidemment de ce changement de vie, on va creuser un peu cette question du syndrome de la bonne élève et de comment elle a trouvé sa place auprès de Nicolas, son mari qui a créé le domaine des Côtes Rousses il y a 10 ans. Attention, la joie et la spontanéité de Marielle sont contagieuses, je suis ressortie le sourire aux lèvres de cette interview, et avec la ferme envie d’aller voir Marielle dans ses vignes, un jour !
Maya, ou comment on devient vigneronne hors cadre
Maya est vigneronne à Cahors : quand ils ont démarré cette aventure, ils n’avaient pas même un sécateur. Alors comment on fait, pour s’équiper, apprendre, et avancer alors que la vigne, elle, n’attend pas ? Comment on « passe de l’autre côté de la barrière », quand on était œnologue et qu’on devint vigneronne ? Comment on gère son syndrome de l’imposteur, comment on apprend à se faire confiance, et puis – aussi – comment on fait face au succès quand il arrive ?
Avec Maya on va aussi parler de la joie, du bonheur que c’est ce quotidien de vigneronne. Et puis on va parler duo : car c’est ce qui la constitue. Avec Nicolas, ils sont une équipe, dans la vie comme à la vigne, et c’est puissant de l’entendre en parler. Vous verrez, ça ne règle pas tout, mais ça emmène loin.
Merci infiniment Maya pour cette interview riche de réflexions, de pistes et de conseils judicieux. Un épisode qui donne envie d’écouter l’autre, de prendre sa plume, de s’aimer… bref un épisode inspirant !
Florent, ou comment cultiver la passion
Florent a failli passer à côté. De sa passion. Il a fait des études de sport, a travaillé dans le tourisme, est parti en Nouvelle-Zélande… et puis il a mis, officiellement, les deux pieds au domaine. Dans cet épisode on va parler de ce germe qui est là, mais qui parfois met des années à se développer. Comment la rencontre et la dégustation sont indispensables pour cultiver (voire faire naître !) cette passion du vin. Avec Florent, on va parler respiration et audace, on va parler voyage et amitiés qui ressourcent. Et puis, évidemment, mon invité s’appelle Florent… Plageoles : on va parler famille et transmission, on va parler de comment trouver sa place, et comment prendre les rênes d’un navire quand on a de telles célébrités qui nous ont précédé.
Un épisode avec beaucoup de franchise, avec un vigneron que l’on n’entend que trop peu…
L’un était avocat d’affaire à l’international, l’autre sommelier dans les plus grands restaurants de New-York. Et aujourd’hui, à 60 ans passés, les voilà vignerons.
Aujourd’hui, on vous propose une histoire singulière, celle de Xavier & Victor du domaine Serre Besson, qui ont posé leurs valises et laissé quelques kilos de sueurs sur les coteaux de Vinsobres. On va évidemment parler passion – c’est, après tout, le moteur de cette aventure parfaitement inconsciente ! – mais on va aussi parler argent, rentabilité, joies et peines du travail physique, stress et contemplation.
Embarquons aux côtés de Sophie Ilbert, du domaine Combel-la-Serre.
Comment travailler en amoureux sur un projet fou, comment être double actif pendant 10 ans, devenir maman et travailler plus de 15h par jour, 7 jours sur 7 ?
Avec Sophie, on va parler de la qualité du moment avec les enfants, de comment vivre sa passion avec eux. On va parler de ces activités qui nous ressourcent, de la course à pied longue distance, de l’importance de savoir dire non. Un épisode qui nous amène à parler de légitimité et du syndrome de l’imposteur, un épisode où on découvre une Sophie toute en sensibilité et en force. Une vigneronne touchante et puissante, une vigneronne au profil taillé pour Intercep ! Merci Sophie.
Suzy était partie pour l’Art, elle est revenue pour la vigne. Dans cette Alsace qui bouillonne de talents et de renouveau, elle a décidé de prendre part au jeu, aux côtés de son frère, Gilles, et de deux amis, Guillaume et Cyril. Et c’est justement ça, que l’on avait très envie de questionner en partant à la rencontre de Suzy : comment on pilote une entreprise, quand on est 4 cogérants ? Comment on s’organise pour que chacun s’épanouisse et que l’information (et la passion !) circule ? Dans cet épisode on va parler gestion de domaine, vous l’aurez compris, mais aussi de la place de la femme dans cette histoire, du poids des engagements – impossible de faire autrement avec le domaine Les Funambules ! – et on va parler commercialisation, aussi. Un épisode proche des préoccupations vigneronnes, enregistré au démarrage des vendanges, en septembre dernier.
Laurent est du genre têtu. Quand il a quelque chose en tête, il n’en démord pas, et y va. Pour autant, c’est un discret, c’est le mec qui observe beaucoup mais parle peu. Il ne fait pas de bruit, mais il « fait » : bien avant qu’on n’en discute sur la place publique, il s’était mis en tête de planter des arbres au milieu de ses parcelles, de recréer des haies et des bosquets, et pas (que) pour faire joli. Aujourd’hui, ce genre de lubie a pris forme, ou plutôt a poussé, c’est à la fois tangible et concret, et c’est (aussi) arrivé bien davantage sur le devant de la scène. Alors comment on fait, quand on est un peu solo dans son coin et que l’on sait pourtant exactement ce que l’on veut ? Comment on se dépatouille, quand on est dans le plus prestigieux vignoble de France mais que pour autant, les droits de succesion et les charges plombent tous vos projets ? Dans cet épisode on va parler arbres et petites fleurs, on va parler inspirations… et on va parler paradoxe champenois !
Comment oser ? Oser devenir vigneronne, quand on avait fait le choix de partir à Paris, faire des études de théâtre. Oser s’inscrire dans une histoire familiale, aux personnalités sensibles et complexes. Oser reprendre derrière 2 figures qui ont fait bouger les lignes du monde du vin et dont le nom est devenu une marque… Pierre & Catherine Breton.
Dans cet épisode notre invitée n’est autre que la lumineuse France Breton. Vous l’entendrez nous parler d’audace, nous raconter la place du débat, le rôle du clan, nous confier l’importance de se connaître soi pour, au fond, dépasser ses peurs et éclore.
Quel axe prendre pour raconter Michèle ?
Comment raconter une femme que tout le monde semble connaître ? Et comment aborder des sujets si peu reluisants que sont la retraite, le deuil, la culpabilité ?
Eh bien, sans détour et avec simplicité ! Un épisode tout en lumière et riche en émotions, dans lequel Michèle Aubery Laurent, du célèbre domaine Gramenon, nous raconte son histoire avec ses mots à elle, elle qui a été si souvent racontée par les autres.
En juin dernier, Aurélie croise Samuel & Martial, les frangins à la tête de la Ferme des Arnaud. Ils se connaissent, mais n’ont jamais pris le temps d’une vraie discussion. Elle apprend que Sam vient de rentrer de 4 mois de… vacances.
Pourtant, Samuel est vigneron. Au sens plein. Alors comment peut-on partir en vacances quand on est dans des métiers de passion qui débordent si largement sur nos vies ? Pourquoi prendre des vacances, tiens, d’ailleurs ? Est-ce vraiment possible, de quitter son domaine si longtemps ? Quel coût et quelles conséquences pour les vignes, le commerce, l’équipe ? Toutes ces questions (et leurs réponses, ha !) à retrouver dans cette interview, qu’Aurélie a mené quelques semaines plus tard, avide de comprendre !
Marie Luneau est devenue vigneronne par choix… et par amour. Mais elle a d’abord débarqué dans ce domaine vieux de 9 générations, en tant que responsable commerciale. Elle ne connaissait fichtre rien au vin, et ne savait même pas envoyer un email. Mais elle savait qu’elle saurait. Et elle a su.
Depuis, elle est tombée amoureuse du « beau barbu » comme elle l’appelle, elle a essuyé des drames climatiques à répétition et monté 572 projets.
Dans ce tout premier épisode, on va parler confiance en soi (ça, vous l’aurez compris, Marie n’en manquait pas !), gestion de son couple et coaching, on va parler lâcher-prise et management, en va parler Beauté avec un grand B, aussi. Un épisode où l’on rit, beaucoup, car avec Marie on ne peut pas faire autrement. On espère que ça vous allumera quelques idées, quelques envies.